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Inscription colloque Résistances LGBTI+

Merci de répondre à ces quelques questions afin de finaliser votre inscription au colloque "Résistances LGBTI+" qui se tiendra les 5 & 6 décembre 2024 à Toulouse et en hybride. 
Vos informations

Ces informations nous servirons à rédiger les rapports du colloque, mais aussi à éditer les badges des participant·es pour l'accueil du colloque. 

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Votre participation au colloque

Pour rappel, le colloque aura lieu les 5 et 6 décembre 2024 à Toulouse (France), sur deux campus différents

Jeudi 5 décembre 2024 (Université Toulouse 2 Jean Jaurès, 5, all. Antonio Machado)

9h-9h30 Accueil – petit-déjeuner
9h30-10h Mot introductif 
10-12h Session 1A / Session 1B
12h-13h Déjeuner
13h-15h Session 2A / Session 2B
15h-15h30 Pause 
15h30-17h30 Session 3A / Session 3B
18h30-20h30 Projection-débat sur la thématique des jeunes LGBTI+ à l'Espace Diversité Laïcité (38, rue d'Aubuisson)

Vendredi 6 décembre 2024 (Sciences Po Toulouse, 2 allée de Brienne)

9h-10h45 Session 4A / Session 4B
10h45-11h00 Pause – petit-déjeuner 
11h00-12h45 Session 5A / Session 5B
12h45-13h45 Déjeuner 
13h45-15h45 Session 6A / Session 6B
15h45-16h00 Pause 
16h00-18h00 Session 7
18h-18h15 Propos conclusif
19h- Apéritif convivial à la Gougnotte (18 av. Etienne Billières)

(Cette question est obligatoire)

Vous assisterez au colloque :

(Cette question est obligatoire)
Vous serez parmis nous en présentiel 
Jeudi 5 décembre (UT2)

Vos choix de réponse dans cette section ne sont pas définitifs, ils nous permettront simplement de répartir les salles en fonction de nombre approximatif de participant·es afin d'éviter les problèmes logistiques de dernière minute. 

(Cette question est obligatoire)

Plusieurs sessions parallèles sont organisées jeudi 5 décembre. Veuillez préciser à laquelle vous prévoyez d'assister de 10h à 12h 

 

Session 1A :

Enquêter auprès des populations minorisées : enjeux méthodologiques

 

Modération : Farah Deruelle (CERTOP, UT2J)

 

  • Mélinoé Calvez (chercheuse indépendante), « Étudier les violences en ligne envers les personnes trans’ : enjeux théoriques et méthodologique »
  • Chloé Chassagnac (LISST-CAS, UT2J), « Du secret et du silence dans les familles homoparentales - Discours d’enfants et enjeux méthodologiques »
  • Jeanne Delanous (CENS, Nantes Université), « Se faire violence pour produire une analyse scientifique de son oppression. Quelques inconvénients de la position située »
  • Chloé Socha (CSO, Sciences Po), « “Invisibilité” des salarié·es issu·es de minorités de genre et sexuelles en entreprise : un enjeu méthodologique pour accéder à des populations volontairement peu visibles »

 

Session 1B :

Repenser les espaces cishétéronormatifs

 

 

Modération : Maialen Pagiusco (LaSSP, IEP de Toulouse)

 

  • Lou Cuenot (CMH, INED, EHESS, EUR GSST), « Résister ou contourner le cisgenrisme des organisations ? Le cas des informaticiennes et travaileur-euses de l’éducation transféminines en France »
  • Louise Déjeans (Cerlis, Université Paris-Cité, UPEC), « Les ressorts socialement situés de l’hétérocisnormativité dans l’espace des sports de combat »
  • Sofia Pavanello Decaro (University of Milan - Bicocca), « Re-thinking queer sex education and its spaces »
  • Clément Riandey (ERRaPhiS, UT2J), « Avons-nous besoin d’études LGBTI+ ? Penser les résistances minoritaires à l’Université »

 

 

(Cette question est obligatoire)

Veuillez préciser à laquelle vous prévoyez d'assister jeudi de 13h à 15h :

Session 2A :

Parentalités LGBTI+

 

Modération : Chloé Chassagnac (LISST-CAS, UT2J)

 

  • Elio Adams (ENS de Lyon), « S'extraire de la norme cis hétéro : les parentes LGBTQI+ entre négociation et subversion de la norme familiale »
  • Al Deverly (EHESS), « Les mères* lesbiennes ne sont pas des femmes ? Tensions et articulations entre lesbianisme et maternité* : réassignations de genre, positions plurielles et investissements des marges »
  • Amandine Suner (IDEAS, Aix-Marseille Université), « Transparents, anatomie de luttes »
  • Estelle Tzotzis (LISST-CAS, UT2J), « “Having to dance around the margins of exclusion”. Dynamiques de résistance à la norme biparentale. Une ethnographie sur les homoparentalités en Aotearoa Nouvelle-Zélande »

Session 2B :

L’art de résister

 

Modération : Sophia Sablé (CEIIBA, UT2J)

 

  • Florent Gourlaouen (chercheur indépendant), « Emulation or Subversion? Counteracting Geographical Exclusion Through Ballroom Culture in Pose (FX, season 1) »
  • Théo Guidarelli (IRCAV, Sorbonne Nouvelle), « Les espaces de résistance LGBTI+ : l’écran comme espace de projection »
  • Sacha Najman (CRAL, EHESS), « De la cité Véron à la place du Tertre : une scène camp à Montmartre dans les années 1930 »
  • Quentin Petit Dit Duhal (HAR, Université Paris-Nanterre), « Queeriser le musée, ou faire une histoire contre-hégémonique de l’art »
(Cette question est obligatoire)

Veuillez préciser à laquelle vous prévoyez d'assister jeudi de 15h30 à 17h30  : 

Session 3A :

Résistances au cœur des relations conjugales et familiales

 

Modération : Yael Armangau (LISST-CERS, UT2J)

 

  • Lucile Marion (Sophiapol, Université Paris Nanterre), « (Dé)faire famille : résistances LGBTI+ à la famille, entre subversion queer et communisation du soin »
  • Lus Prauthois (IRISSO, CSO, Université Paris-Dauphine, Paris 8), « Faire famille en marge de l’hétéronormativité, est-ce résister au droit ? »
  • Jeanne du Roure (Cems, EHESS), « Peut-on se débarrasser de sa famille ? Care, reconnaissance et relations parents-enfants chez les gays et lesbiennes de 60 ans et plus »
  • Héloïse Russel-Holland (UQÀM, IDHES, ENS Paris-Saclay), « La division du travail domestique dans les couples lesbiens : vers une “dés/hétérosexualisation” ? »

Session 3B :

Expertises & santé

 

Modération : Soel Real Molina (SESSTIM, Aix Marseille Université)

 

  • Édel Granda (Universidad Complutense de Madrid), « El caso de despatologización en España: micropolíticas y resistencias en personas trans en la gestión profesional del ámbito psi »
  • Sara Jaafar (chercheur indépendant), Samuel Crougneau (Université de Bordeaux, Le Girofard Centre LGBTI+ de Bordeaux, ANCRES), « Stratégies pour la mise à l’agenda d’un problème de santé publique porté par les usager·es trans »
  • Sébastien Landrieux (Université de Lille SHS - IRHiS), « L’expertise médicopsychiatrique pour homosexualité (Nord, 1945-1952) : lecture intersectionnelle d’un interaction »
  • Loé Petit (CRESPPA-GTM, Paris 8 Vincennes-Saint Denis), Michal Raz (SAGE), Gaëlle Larrieu (INED), « Faire la lumière sur les violences faites aux personnes intersexes : l'enquête Santé et Intersexuation »
(Cette question est obligatoire)
Le jeudi 5 décembre, le colloque se déplace hors les murs et propose une projection-débat sur la thématique des jeunes LGBTI+ à l'Espace Diversité Laïcité (auditorium, 38, rue d'Aubuisson) - en partenariat avec l’association DIAM (Des Images Aux Mots), l’association EM2T (Espace Mineur·es Trans Toulouse) et de Camille Favre (référente académique Égalité – Rectorat de l’Académie de Toulouse)La projection sera suivie d'un buffet végétarien. Pensez-vous y assister ? 
Vendredi 6 décembre (Sciences Po Toulouse)

Vos choix de réponse dans cette section ne sont pas définitifs, ils nous permettront simplement de répartir les salles en fonction de nombre approximatif de participant·es afin d'éviter les problèmes logistiques de dernière minute. 

(Cette question est obligatoire)

Plusieurs sessions parallèles sont organisées vendredi 6 décembre. Veuillez préciser à laquelle vous prévoyez d'assister de 9h à 10h45 

 

Session 4A :

Engagements et pratiques militantes

 

Modération : Cécile Loriato (SESSTIM, Aix Marseille Université)

 

  • Yi-Jhen Chen (LEGS, Université Paris 8 Vincennes - Saint-Denis), « Engagement militant et socialisation sexuelle des lesbiennes taïwanaises et chinoises en France : résistances culturelles et ancrages sociaux »
  • Rozenn Hochard (militante et chercheuse indépendante), « “Des punks de la communauté lgbt+” : Queer, lesbianisme politique et résistance bisexuelle »
  • Bénédicte Rosenstiehl (ENSA Strasbourg), « Des collages contre les féminicides, à la résistance LGBTQIA+. Analyse socio-spatiale des colleur·euses féministes de Strasbourg »

 

Session 4B : 

Espaces pluriels de mobilisations

 

Modération : Sara Cesaro (RESPPA GTM, Université Paris 8)

 

  • David Distelrath (LADYSS, CRESPPA, Université de Paris Cité), « Slow Violence, Credit Access, and Rural Queer Resistance »
  • Cannelle Gueguen-Teil (Université d'Oxford), « Étude comparative des pratiques de résistances d’écologies queer en France métropolitaine »
  • Maria Kherbouche (Université de Genève, EHESS), « Penser les marges urbaines comme espace de résistance : mobilisations LGBTQI+ de quartiers populaires en France et au Danemark »
(Cette question est obligatoire)

Veuillez préciser à laquelle vous prévoyez d'assister vendredi de 11h à 12h45 : 

Session 5A :

Politisations et résistances ordinaires

 

Modération : Corto Le Perron (CEMS, FRAMESPA, UT2J, EHESS)

 

  • María Cegarra (UTRPP, Université Sorbonne Paris Nord), « Résistances depuis l’intimité ? Récits sur le vécu de la sexualité lesbienne »
  • Maialen Pagiusco (LaSSP, IEP de Toulouse), « “Avoir de la chance” face à l’hétérosexisme : comment les jeunes lesbiennes et gays se représentent les violences ordinaires et tentent (ou non) d’y résister »
  • Yasmine Tuffy (Iris/EHESS, Ined, EUR GSST), « Des résistances atypiques. La politisation du lesbianisme au prisme de la classe et de la race »

 

Session 5B :

Dire les violences

 

Modération :  Joséphine Deneux (Arènes, Université de Renne 1)

 

  • Fiona Eyraud (CeSCuP, Université Libre de Bruxelles), Léna Terrando (Centre Metices, Université Libre de Bruxelles), Mathilde Quéré (CeSCuP, Université Libre de Bruxelles), « Entre invisibilité et stigmatisation : révéler les violences dans les couples lesbiens »
  • René_ Rain Hornstein (Sigmund Freud University Berlin, Technical University Braunschweig), « Resisting violence by understanding internalized trans* oppression »
  • Bi Zanhan Guy-Marcel Leh (Laboratoire Santé Sexualité Genre et Développement, Université Alassane Ouattara), Euloge Dalloz Zagocky (Université Peleforo Gon Coulibaly), « Quand les plus vieux du “milieu” exploitent les plus jeunes. Récits de jeunes gays non-expérimentés victimes de violences à Yamoussoukro (Côte-d’Ivoire) »
(Cette question est obligatoire)

Veuillez préciser à laquelle vous prévoyez d'assister vendredi de 13h45 à 16h45 : 

Session 6A :

Analyse des luttes

 

Modération : Mathias Quéré (Université Paris Cité)

 

  • Riccardo Bulgarelli (European University Institute), « Sujets victimes et sujets politiques : généalogie du paradigme de violence politique au Fronte Unitario Omosessuale Rivoluzionario Italiano (1975-1980) »
  • Axiel Cazeneuve, Association CLAR-T, « Par-delà la résistance : rêver dans la lutte »
  • Camille-Adèle Gelot (chercheuse indépendante), « “Le jour où on compte nos morts” : Anthropologie politique du Transgender Day of Remembrance »
  • Camille Morin-Delaurière (CPDS, Caped/UDEM, Framespa, UT2J), « Résister en faisant alliance et en construisant une communauté de lutte politique : une histoire des relations entretenues entre les associations lesbiennes, homosexuelles et féministes dans la décennie 1980 en France »

 

Session 6B :

Écrire pour résister

 

Modération : Maria Kherbouche (Université de Genève, EHESS)

 

  • Maric Martin Lorusso (University of Bologna), « Creating Gender Euphoria Imaginaries: A Fanzine Project with Trans and Nonbinary Youth »
  • Romarin Arnaud (Pléiade, Sorbonne Paris Nord), « Reconfigurer le monde des romans trans pour adolescent-es : entre reconduite, négociation, et transformation des conventions »
  • Kimberlee Reschid (Université des Antilles), « Queerness et monstruosité : la résistance dans la littérature caribéenne contemporaine »
  • Sarah Stefanowski (IETT, Université Lyon 3), « Stratégies de résistance queer dans la littérature contemporaine germanophone : étude de la langue »

 

(Cette question est obligatoire)

La dernière session du colloque est une plénière de 16h à 18h. Comptez-vous y assister ?

Session 7 : Fêter les résistances LGBTI+

Modération : Mallaury Cantagrel (LLA-CRÉATIS, UT2J)

  • Melvin Aït Aïssa (IDEAS, Aix-Marseille Université), « Les velas muxes : la fête comme moteur de reconnaissance sociale d’une minorité de genre (Isthme de Oaxaca, Mexique) »
  • Jeanine Bruseker (chercheuse indépendante), « Résistances, dedans et dehors : personnes transféminines et cabarets à Paris et Buenos Aires »
  • Helene Fromen (chercheuse indépendante), « Ce que les espaces font à Modèle vivant·e. Ce que Modèle vivant·e fait aux espaces qu’iel occupe »
  • Elie Pucheral (EHESS, Université de Brasilia), « Faire de la nuit un queerlombo : lutte, résistance et empuissancement afro-transféministe dans les fêtes Batekoo et Chernobyl (Brésil) »
(Cette question est obligatoire)
Pour clôturer le colloque nous invitons toustes les participant·es à se retrouver au bar La Gougnotte (18 av. Etienne Billières) pour un apéritif convivial. Pensez-vous y participer ?
(Cette question est obligatoire)

Dans le même temps que la plénière (16h-18h), nous prévoyons la tenue d'un atelier de travail (en présentiel uniquement) autour de la création d'un réseau de jeunes chercheur·euses qui pourra perdurer au-delà du colloque. Il s'agira de délimiter ce réseau, mais aussi d'identifier nos besoins en tant que jeunes chercheur·es en études LGBTI+. 

Pour que cet atelier puisse aboutir à des avancées concrètes, ses places sont limitées à 12 personnes qui appartiennent à des rattachements universitaires différents, aux statuts diversifiés et, dans la mesure du possible, à des disciplines variées.

Un compte-rendu sera envoyé à toutes les personnes inscrites au colloque afin qu'elles puissent prendre connaissance du contenu des échanges. Nous espérons que cet atelier permettra d'amorcer la future participation d'un plus grand nombre, avec des réunions de travail à distance et d'une continuité "après-colloque". 

Souhaitez-vous vous investir dans un tel projet et participer à l'atelier ? 

Une confirmation sera envoyée aux participant·es retenu·es quelques jours avant la tenue du colloque. Les seuls critères étant ceux énoncés à savoir une représentatitvité des statuts, disciplines et rattachements. 
Accessibilité et besoins

Toutes les salles et espaces du colloque sont accessibles PMR. Nous prévoyons également la mise à disposition d'une salle calmeen libre-accès. Chaque participant·es sera identifiable à l'aide de badge indiquant le(s) prénom(s)/nom(s) et pronom(s).

Si vous avez d'autres besoins relatifs à l'accessibilité n'hésitez pas à nous en faire part